élargissement de l'A46 en zone habitée

À l'heure où le réchauffement climatique devient inquiétant, où les catastrophes naturelles sont désormais dramatiques dans nos contrées habitées (pour ce mois de juillet, inondations sans précédent avec de nombreux décès en Allemagne, Belgique,...dômes de chaleur et incendies dévastateurs au Canada et en Amérique du Nord,....) alors que les élus de la métropole de Lyon cherchent des solutions pour limiter les îlots de chaleur, la pollution atmosphérique, je pense qu'il n'est vraiment plus d'actualité d'augmenter les voies de circulation rapide. Elargir l'A46 aura pour effet d'augmenter le trafic routier. L'A46 est encombré de camions qui transitent et qui polluent toutes les communes qui se trouvent sur le tracé. Cette portion d'autoroute coupe littéralement en deux la ville de Mions et traverse également la ville de Saint-Priest. Les habitants de ces communes sont déjà fortement impactés par ces nuisances, d'autant plus que la côte entre l'entrée Mions-les Meurières et le noeud de Saint-Priest mi-plaine est importante et ralentit les camions qui, de ce fait, consomment et donc polluent davantage. À ce niveau la pollution montre souvent un brouillard de particules dense. Si l'autoroute A46 est saturé à certaines heures, commençons d'abord par réfléchir aux solutions pour limiter drastiquement le trafic des poids lourds.