Incidences humaines majeures
Le territoire de l'est lyonnais et en particulier l'est de la commune de Saint-Priest subit déjà des niveaux de pollution de l'air et de nuisances sonores importantes en raison de la présence de l'A43, de la Rocade Est, de l'A46 Sud. Le projet contribuera à augmenter de manière très significative le trafic sur les axes A43 et A46 Sud, cela ne peut être contesté. Il s'agit donc, en toute connaissance de cause, d'augmenter le niveau de pollution de l'air et de bruit de l'est lyonnais.
La pollution de l'air est à l'origine de plus de 40 000 décès prématurés en France, et la France a été récemment condamnée pour son insuffisance d'action en la matière. Il n'est donc pas acceptable d'exposer une population à des niveaux de pollution supérieurs. Cette mise en danger pour la santé des riverains, au sein d'une Métropole qui mets en place une ZFE, n'est pas traitée de manière suffisamment approfondie dans le dossier de concertation. Il n'existe pas de protection contre cette pollution qui affectera un territoire encore plus large.
Le bruit est qualifié de nuisance mais il est également source d'atteinte à la santé (auditifs (surdité, acouphènes…) et extra-auditifs (pathologies cardiovasculaires…)). L’amélioration de l’environnement sonore est l’une des actions phares du Plan National Santé Environnement 3. Il n'est donc pas concevable que l'Etat expose une population à un niveau de bruit supérieur, or c'est bien ce qui se passe lorsque le trafic augmente.
Ces deux raisons majeures de santé publique ne peuvent qu’amener à abandonner ce projet dangereux.
La pollution de l'air est à l'origine de plus de 40 000 décès prématurés en France, et la France a été récemment condamnée pour son insuffisance d'action en la matière. Il n'est donc pas acceptable d'exposer une population à des niveaux de pollution supérieurs. Cette mise en danger pour la santé des riverains, au sein d'une Métropole qui mets en place une ZFE, n'est pas traitée de manière suffisamment approfondie dans le dossier de concertation. Il n'existe pas de protection contre cette pollution qui affectera un territoire encore plus large.
Le bruit est qualifié de nuisance mais il est également source d'atteinte à la santé (auditifs (surdité, acouphènes…) et extra-auditifs (pathologies cardiovasculaires…)). L’amélioration de l’environnement sonore est l’une des actions phares du Plan National Santé Environnement 3. Il n'est donc pas concevable que l'Etat expose une population à un niveau de bruit supérieur, or c'est bien ce qui se passe lorsque le trafic augmente.
Ces deux raisons majeures de santé publique ne peuvent qu’amener à abandonner ce projet dangereux.