l'inutilité du projet et l'absence d'alternative sont démontrés dans l'édito du Préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rhône
Je suis opposé à ce projet comprenant la mise à 2x3 voies de l'A46 Sud et les aménagements du nœud de Manissieux.
Dans l'édito du dossier de concertation, le Préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rhône apporte tous les arguments pour démontrer l'insuffisance de ce projet.
Dès son paragraphe d'introduction, il précise que l'A46 sud est une maille qui concentre les échanges entre la Méditerranée, les Alpes, le centre de la France et le nord de l'Europe. Il reconnait donc que le trafic de transit nord sud passe sur cet axe routier et que c'est ce point qui est tout le problème.
Le deuxième paragraphe est une diversion pour accréditer le projet en portant attention aux problématiques de déplacements des riverains, mais en oubliant surtout les pollutions majeures engendrées par cet axe routier. On peut rappeler que l'A46 sud se connecte avec la rocade des villages.
Le troisième paragraphe, c'est la catastrophe annoncée pour plus tard. Il annonce d'une part l'augmentation du trafic mais surtout d'autre part en remettant «aux calendes grecques» le traitement du vrai problème du trafic de transit à Lyon par la notion d'un grand contournement de Lyon. C'est donc un grand gaspillage de l'argent public, car le Préfet propose un projet qui ne solutionnera pas le vrai problème du trafic de transit nord sud. Pour la fin de son paragraphe, il fait allusion à d'autres démarches d'amélioration des mobilités qui ne sont pas traitées dans ce dossier.
Le dernier paragraphe, c'est la pommade pour louer les bienfaits de la concertation alors que celle-ci se déroule en particulier sur les 2 mois d'été, période où les citoyens sont globalement en vacances. De plus les moyens de l'Etat maitre d'ouvrage et de Vinci autoroute son délégataire sont immensément plus importants que la plupart des riverains et métropolitains.
Non à ce projet partiel qui ne règle pas le trafic de transit et qui va augmenter considérablement la pollution et aura une incidence négative pour la santé humaine sur le territoire de la Métropole.
Dans l'édito du dossier de concertation, le Préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rhône apporte tous les arguments pour démontrer l'insuffisance de ce projet.
Dès son paragraphe d'introduction, il précise que l'A46 sud est une maille qui concentre les échanges entre la Méditerranée, les Alpes, le centre de la France et le nord de l'Europe. Il reconnait donc que le trafic de transit nord sud passe sur cet axe routier et que c'est ce point qui est tout le problème.
Le deuxième paragraphe est une diversion pour accréditer le projet en portant attention aux problématiques de déplacements des riverains, mais en oubliant surtout les pollutions majeures engendrées par cet axe routier. On peut rappeler que l'A46 sud se connecte avec la rocade des villages.
Le troisième paragraphe, c'est la catastrophe annoncée pour plus tard. Il annonce d'une part l'augmentation du trafic mais surtout d'autre part en remettant «aux calendes grecques» le traitement du vrai problème du trafic de transit à Lyon par la notion d'un grand contournement de Lyon. C'est donc un grand gaspillage de l'argent public, car le Préfet propose un projet qui ne solutionnera pas le vrai problème du trafic de transit nord sud. Pour la fin de son paragraphe, il fait allusion à d'autres démarches d'amélioration des mobilités qui ne sont pas traitées dans ce dossier.
Le dernier paragraphe, c'est la pommade pour louer les bienfaits de la concertation alors que celle-ci se déroule en particulier sur les 2 mois d'été, période où les citoyens sont globalement en vacances. De plus les moyens de l'Etat maitre d'ouvrage et de Vinci autoroute son délégataire sont immensément plus importants que la plupart des riverains et métropolitains.
Non à ce projet partiel qui ne règle pas le trafic de transit et qui va augmenter considérablement la pollution et aura une incidence négative pour la santé humaine sur le territoire de la Métropole.