Demande de concertation mobilité globale
La Métropole de Lyon est aujourd’hui la deuxième Métropole de France et un des plus grands axes de transit routier d’Europe.
Les infrastructures routières existantes ne sont plus en capacité d’appréhender seules le trafic quotidien en constante augmentation. Cela impacte durement les territoires voisins et leurs habitants comme cela est le cas pour le Département du Rhône
L’État a engagé, jusqu’au 28 septembre, un débat public focalisé uniquement sur l’élargissement de l’A46 Sud en 2x3 voies dont le tracé passe sur notre territoire et pour lequel le Département n’a jamais été sollicité en amont de projet.
Or, les maires du pays de l’Ozon nous ont alertés sur la vision réductrice de ce débat.
En effet, le seul passage de l’A46 sud en 2x3 voies, ne règlerait en rien les difficultés de congestionnement tant que les difficultés connues des nœuds de Ternay et de Manissieux ne seront pas pris en charge.
Avec le déclassement de l’A6/A7, une telle décision risquerait même, si elle est adoptée seule, d’empirer le trafic et les embouteillages à l’entrée de Lyon, renforçant ainsi le goulot d’étranglement déjà existant
Cet avis des élus locaux rhodaniens est également partagé par l’étude indépendante du Cabinet TTK, demandé par la commission nationale du Débat public.
Aussi, face à l’enjeu des mobilités globales et conscient de la nécessité de nouvelles infrastructures, le Département du Rhône souhaite appuyer la position des maires et élus du pays de l’Ozon et émet le vœu que la commission nationale du Débat public puisse lancer un débat public sur l’ensemble des mobilités du quotidien, les déplacements d’échanges et ceux de transit sur un périmètre allant du Nord de la Vallée du Rhône, jusqu’au Nord Isère, au Sud de l’Ain et à l’est de la Loire.
Christophe GUILLOTEAU
Président du Département du Rhône
Les infrastructures routières existantes ne sont plus en capacité d’appréhender seules le trafic quotidien en constante augmentation. Cela impacte durement les territoires voisins et leurs habitants comme cela est le cas pour le Département du Rhône
L’État a engagé, jusqu’au 28 septembre, un débat public focalisé uniquement sur l’élargissement de l’A46 Sud en 2x3 voies dont le tracé passe sur notre territoire et pour lequel le Département n’a jamais été sollicité en amont de projet.
Or, les maires du pays de l’Ozon nous ont alertés sur la vision réductrice de ce débat.
En effet, le seul passage de l’A46 sud en 2x3 voies, ne règlerait en rien les difficultés de congestionnement tant que les difficultés connues des nœuds de Ternay et de Manissieux ne seront pas pris en charge.
Avec le déclassement de l’A6/A7, une telle décision risquerait même, si elle est adoptée seule, d’empirer le trafic et les embouteillages à l’entrée de Lyon, renforçant ainsi le goulot d’étranglement déjà existant
Cet avis des élus locaux rhodaniens est également partagé par l’étude indépendante du Cabinet TTK, demandé par la commission nationale du Débat public.
Aussi, face à l’enjeu des mobilités globales et conscient de la nécessité de nouvelles infrastructures, le Département du Rhône souhaite appuyer la position des maires et élus du pays de l’Ozon et émet le vœu que la commission nationale du Débat public puisse lancer un débat public sur l’ensemble des mobilités du quotidien, les déplacements d’échanges et ceux de transit sur un périmètre allant du Nord de la Vallée du Rhône, jusqu’au Nord Isère, au Sud de l’Ain et à l’est de la Loire.
Christophe GUILLOTEAU
Président du Département du Rhône